Je me souviens d'un temps
Amené par un vent
Frais des années passées
Auprès des murs gravés
D'une cour sans miracle,
Perdue dans un lycée,
Où nous rêvons les voyages,
Et pensons nos cités.
Quand on passait les portes,
Tout s'écroulait de sorte
Que l'oiseau tant rêvé
Restait les ailes brûlées.
Tout'fois l'on espérait
Que demain renaîtrait
Le phoenix incendié,
Au moins pour la journée.
Que demain renaîtrait
Le phoenix incendié,
Au moins pour la journée.
De nouveau installé,
De nouveau inspiré,
Un mot par ci par là,
Parfois un mot de joie..
De nouveau inspiré,
Un mot par ci par là,
Parfois un mot de joie..
Comme un verre, ces phrases;
nous faisaient oublier
Toute sorte de case
Où l'on voulait nous coller.
nous faisaient oublier
Toute sorte de case
Où l'on voulait nous coller.
Nous redonnions au bois
Des tables un peu de «vert»
Ainsi qu'aux murs de sable
Un petit bout de mer.
Peut-êtr' n'est ce pas grand chose
Pour vous marchands de rêves,
Mais ca nous permettait
De croire à la relève.
Qu'importe nos vérités,
Nous les portions au nues.
Toujours prêt à chanter
Une rengaine de plus,
Et libre de construire
Tel ou tel avenir,
avec une seule guitare,
Ou bien tous en fanfare.
«les salades, les fruits,
n'attendent que la cueillette
Mais l'araignée de la haie
ne mange que les violettes»
Ah! vous nous attendiez
Au dangereux carrefour
Pour faire taire «la chanson
De la plus haute tour»
C'est une vaine victoire
Que de notre bien, vouloir,
Sans pensée réfléchie,
Sans tolérer l'ennuie.
C'était certain, que sans vous
Nous irions à Cythere,
Sans aides irions nous
apprendre de ces terres.
Car vos « jolis » discours,
Furent ils tous éloquents,
Les choses de l'amour
se passent de fondements.
Et de deux choses, l'une,
Notre envie de défaire
Vos envies. l'autre, extraire
D'une chose, deux lunes.
Ivres de quelques printemps
Et toujours prêts à hisser
Une rengaine en gueulant,
Nous étions sans vérité.
Tous, attendaient, l'après,
Mais nous les petits princes,
Nous n'étions pas inquiets
D'un avenir trop mince.
C'est bien simple pourtant!
Vous qui ne semblez pas
Vous tromper trop souvent,
Vous ne compreniez pas
Que nous différions
Dans le seul fait que l'on
Avait en poche le sort
Rescapé de Pandore.
Des tables un peu de «vert»
Ainsi qu'aux murs de sable
Un petit bout de mer.
Peut-êtr' n'est ce pas grand chose
Pour vous marchands de rêves,
Mais ca nous permettait
De croire à la relève.
Qu'importe nos vérités,
Nous les portions au nues.
Toujours prêt à chanter
Une rengaine de plus,
Et libre de construire
Tel ou tel avenir,
avec une seule guitare,
Ou bien tous en fanfare.
«les salades, les fruits,
n'attendent que la cueillette
Mais l'araignée de la haie
ne mange que les violettes»
Ah! vous nous attendiez
Au dangereux carrefour
Pour faire taire «la chanson
De la plus haute tour»
C'est une vaine victoire
Que de notre bien, vouloir,
Sans pensée réfléchie,
Sans tolérer l'ennuie.
C'était certain, que sans vous
Nous irions à Cythere,
Sans aides irions nous
apprendre de ces terres.
Car vos « jolis » discours,
Furent ils tous éloquents,
Les choses de l'amour
se passent de fondements.
Et de deux choses, l'une,
Notre envie de défaire
Vos envies. l'autre, extraire
D'une chose, deux lunes.
Ivres de quelques printemps
Et toujours prêts à hisser
Une rengaine en gueulant,
Nous étions sans vérité.
Tous, attendaient, l'après,
Mais nous les petits princes,
Nous n'étions pas inquiets
D'un avenir trop mince.
C'est bien simple pourtant!
Vous qui ne semblez pas
Vous tromper trop souvent,
Vous ne compreniez pas
Que nous différions
Dans le seul fait que l'on
Avait en poche le sort
Rescapé de Pandore.
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