S’en vont les voies ferrées,
Et parfois les compagnes
Restent sur le plancher.
On s’en va le coeur lourd,
Ou bien le coeur léger,
Tout dépend des amours
Que l’on a rencontrés.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
J’aurais pu remonter
Avec toi dans ce train,
Où l’on a hésité
A se prendre la main.
Mais le temps d’y songer,
J’ai traversé le pont,
Pris d’autres voies ferrées,
Enfin, coupé les ponts.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
Je m’souviens du chemin
Que nous avons survolé
Tous deux, main dans la main,
Jusqu’au prochain baiser.
Jamais, je ne voudrai
Voir, avant de partir,
S’effacer d’un seul trait
Ce petit souvenir.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
Rien ne vaut à ce jour,
(de) Verser sur le passé
Quelques pleurs au détour
De pareilles pensées.
Parfois, je nous surprends,
Ensemble dans mes nuits,
A retrouver le temps.
Des balades jolies.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
Et si j’ai attendu
De n’plus voir ton retour,
Sûr ! que j’n’ai pas aimé
Voir passer les saisons.
Mais l’étrange forêt
Témoin de nos détours,
Je la garde en mémoire
Avec cette chanson.
(de) Verser sur le passé
Quelques pleurs au détour
De pareilles pensées.
Parfois, je nous surprends,
Ensemble dans mes nuits,
A retrouver le temps.
Des balades jolies.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
Et si j’ai attendu
De n’plus voir ton retour,
Sûr ! que j’n’ai pas aimé
Voir passer les saisons.
Mais l’étrange forêt
Témoin de nos détours,
Je la garde en mémoire
Avec cette chanson.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
Resteront les clochers
Des anciennes campagnes,
Amers des naufragés
Refuges des vieilles dames.
Et nos aveux fuyards,
Passe la vie, restent les larmes.
Resteront les clochers
Des anciennes campagnes,
Amers des naufragés
Refuges des vieilles dames.
Et nos aveux fuyards,
Dans la nuit, enivrés,
Loin de tous les regards,
Lors d’une nuit volée.
Loin de tous les regards,
Lors d’une nuit volée.
Passe la vie, viennent les rires,
Passe la vie, restent les larmes.
Passe la vie, restent les larmes.
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